Depuis plusieurs années, les tl s’attellent au quotidien à diminuer l’impact global sur l’environnement, que ce soit dans les activités courantes ou au travers des grands projets d’infrastructures. En 2021, l’entreprise a décidé d’aller un pas plus loin : suite à l’évaluation quantitative de son empreinte carbone, elle a identifié les secteurs et actions prioritaires à adresser pour diminuer les émissions de Gaz à effet de serre (GES).

La méthodologie utilisée classifie les émissions en trois groupes distincts : émissions directes de gaz à effet de serre (chauffage des bâtiment et carburants véhicules), émissions indirectes (notamment au travers de l’électricité de traction) et émissions indirectes tout au long de la chaîne de valeur (achats, mobilité des collaborateur∙rice∙s, informatique, etc.). Si les lignes de transports publics représentent bien la majeure partie des émissions (55 %), d’autres secteurs contribuent aussi à l’empreinte carbone des tl.

La décarbonation de la flotte apparaît donc comme une action centrale pour réduire les émissions de GES. Néanmoins, atteindre les ambitions en faveur de l’environnement nécessitera une réflexion globale, sur les 3 groupes d’émissions identifiés (directs, indirects, indirects sur la chaîne de valeur), ainsi que dans d’autres domaines tels que la gestion des déchets ou la production d’énergie renouvelable.

Une organisation et une gouvernance dédiées à la mise en œuvre des actions en faveur de l’environnement sera mise sur pieds en 2022, pilotée par la nouvelle unité Stratégie, Innovation et QSE (SIQ), ainsi que la formalisation des engagements de l’entreprise dans le cadre d’une politique environnementale et d’un programme dédié.